Ch. 15 – La conversation privée

Si tu arrives à cette page par accident, ceci est une histoire de Taekook avec des passages 18 ans et +

Plus de détails sur l’histoire, ici.

FanFictions BTS

Les passages sensuels ou érotiques sont indiqués entre des citrons.

Tu peux ainsi facilement les repérer et les sauter si besoin.

Cette fois-ci, nous ne serons pas dérangés. J’ai demandé à Yoongi et Jimin d’aider Namjoon à aller chercher ses affaires pour s’installer ici. Ils en ont pour une heure minimum.

D’un coup, je stresse un peu…

Je suis d’accord pour être son chéri et qu’on se fasse des câlins, mais…

Uniquement couvert de son caleçon, Tae se glisse sous les draps, il enlève son sous-vêtement et le jette hors du lit avec un sourire en coin.

Je… Je ne peux plus reculer…

Je m’allonge près de lui, cache mon corps de la couverture et me dénude aussi complètement.

Mon cœur bat si fort, mais pas d’excitation… d’angoisse…

Pourtant, j’avais si hâte tout au long du chemin du retour. C’est quoi mon problème, bordel ?

– Y a un souci ? me dévisage-t-il avec compassion.

Purée, je devrais embraser tout son corps là, pas lui faire pitié !

Reprends-toi, Jk !

– Non, tout va bien, ravalé-je ma salive.

– Tu es sûr ?

– OUI ! me rebiffe aussitôt.

Il fait la moue.

– Désolé, m’excusé-je, je ne voulais pas hausser le ton.

– Je mets les menottes ?

– Non…

J’hésite.

– Tu aimerais que je fasse le premier pas ? essaye-t-il.

Peut-être que ce serait plus facile.

– Mouais… ok.

 

 

– début

Il vient sur moi. Il commence à m’embrasser le cou. J’entends sa respiration se faire plus langoureuse dans mon oreille. Sa main trouve mon sexe et le caresse.

– fin

Je n’avais que 5 ans la première fois, sans mon pouvoir, sans les interventions de Jimin, je n’y aurais pas échappé. J’avais toujours peur, j’étais terrorisé à l’idée qu’ils arrivent à leur but…

– LÂCHE-MOI, SALE DÉMON !

Tae est projeté contre le mur et en défonce la surface.

Non, je n’ai pas fait ça !?

Je cours vers lui, l’aide à se relever.

– Je suis vraiment désolé.

– Ça va, me sourit-il à moitié, je n’ai pas mal, tu te rappelles ? Ce sera guéri en un instant.

Je me mets à pleurer, incapable de m’en empêcher.

Il me serre dans ses bras, me console, alors que c’est moi qui l’ai attaqué.

– J’ai un cadeau pour toi, sourit-il.

Il sort de la chambre complément nu, heureusement que nous sommes seuls, puis revient avec une boite noire ornementée d’un gros nœud rouge sang. Je m’assois sur le lit, curieux, et l’ouvre.

De nouvelles menottes ?

– Elles ne sont pas comme les autres, s’enthousiasme-t-il. Elles sont agrémentées de chaines. Tu peux m’attacher les jambes et les bras, me rendant totalement à ta merci.

– Totalement à ma merci ? répété-je.

– Tu veux essayer ?

 

 

– début

Mon début d’érection me dit que oui.

Je passe les chaines sous le matelas et fais signe à Tae de s’allonger. Il s’y met, sur le dos, je hausse un sourcil et il se retourne. J’attache d’abord ses poignées, puis ses chevilles, ce qui écarte ses jambes.

Il bouge du mieux qu’il peut, me démontrant qu’il est réellement bloqué, seul son bassin est libre de ses mouvements.

Je caresse son dos de ma main, la remonte petit à petit jusqu’à son cou. Je penche brusquement sa tête en arrière pour l’embrasser avec passion. Je donne une tape sur son postérieur et il le surélève aussitôt, obéissant à mon ordre. Je glisse ma main sur sa taille et ramène son corps plus près du mien.

Mon cœur s’accélère, mais ce n’est plus d’angoisse.

Mon sexe va et vient entre ses fesses qu’il serre pour augmenter mon plaisir. J’attrape son cou de mes deux mains, le faisant cambrer en arrière, les mettant quasi à quatre pattes.

J’ai le contrôle, le contrôle total, il ne peut pas me faire de mal…

Je le pénètre d’un coup, brusquement, violemment, lui déclenchant un cri. Il ne peut pas être de douleur, alors il ne peut être que de plaisir.

Je n’ai pas le pouvoir de lui faire mal, mais celui de lui procurer une jouissance intense, pour le remercier, pour le punir, pour ne faire qu’un avec lui…

Je le pilonne sauvagement, il hurle.

Ça me fait tellement de bien, pas seulement de sentir mon corps dans le sien, mais de l’entendre ainsi crier. Je vais de plus en plus vite, de plus en plus fort. La tête de lit tape si violemment le mur qu’il fait balancer le lustre du plafond. Je ne peux pas m’arrêter… C’est presque de la rage, mais c’est aussi du désespoir, de la passion, je ne sais pas trop, tout s’emmêle… Je crie à mon tour. J’explose…

Je tremble. Je pleure…

Je suis maintenant allongé sur lui, mon corps couché sur le sien. Mes mains suivent ses bras pour trouver les siennes. J’enlace mes doigts entre les siens. Je suis inconsolable.

C’était si horrible.

C’était si merveilleux.

– S’il te plait, me supplie Tae, détache-moi, mon chéri.

J’avale un hoquet, puis enlève les menottes attachées à ses pieds, puis à ses poignées. Il m’attrape aussitôt et me couche de nouveau sur lui, ma tête sur son torse. Il me caresse les cheveux, me donne un léger baiser sur le front. Je pose ma main sur l’un de ses pectoraux et l’effleure de mon pouce. 

Mes doigts veulent explorer son corps, mais ils rencontrent bientôt une substance visqueuse et collante.

Je m’assois rapidement, il en a partout !

– Dégueu !

– Comment ça dégueu ? ricana-t-il. Tu m’as bien rempli toi aussi !

– fin

Je grimace et lui lance un oreiller sur la tête, il le prend et m’en jette un coup.

Comment ose-t-il ?

Je m’arme du plus gros, je suis bien plus fort que lui !

Il se met debout sur le lit et je le suis. Je lui donne un coup puissant qui éclate l’oreiller et en fait voler les plumes blanches.

Je souris. C’est beau.

Tae sort ses ailes. Il les enroule autour de moi. Il n’avait jamais fait ça auparavant.

C’est chaud, c’est doux, c’est réconfortant.

Je desserre son étreinte pour le regarder dans les yeux, complètement bouleversé :

– Merci, hyung…

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