Meute BTS – Passage censuré 2 (à lire entre ch. 35 et 36)
Si tu arrives à cette page par accident, ceci est un chapitre bonus de la FanFiction BTS “Meute BTS” et contient du contenu pour adulte (18 ans et plus).
Si tu es à la bonne place, bonne lecture (attention, à lire entre les chapitres 35 et 36).
JungKook continua de m’embrasser, ses caresses devinrent plus pressantes et insistantes. Il me serra contre lui. Son torse se levait et baissait sous l’intensité de sa respiration. Je sentis son souffle dans mon oreille, ce qui me donna des frissons, la chair de poule. Il embrassait maintenant mon cou, le léchant légèrement. Il se pencha davantage sur moi, je posai mes mains sur ses pectoraux. Je percevais ses muscles sous son t-shirt moulant. Je n’avais qu’une envie : qu’il le déchire. Je glissai mes doigts sur les rebords de celui-ci et le levai assez pour apercevoir ses abdominaux impressionnants. Il enleva alors totalement son haut et le jeta à terre. Je me débarrassai également du mien. Il échappa un rire viril, puis plongea son regard langoureux dans le mien.
– Tu es belle, me souffla-t-il, et je t’aime.
Il m’embrassa de nouveau, ses lèvres mordillèrent les miennes avec passion. Ses doigts glissèrent dans mon dos et dégrafèrent mon soutien-gorge. Il me retourna alors, prenant la pose de la sculpture, son torse se pressait contre moi. Ses mains s’enivrèrent de mes seins.
Son souffle se fit plus bestial comme un râle. Je sentais son sexe se frottait contre l’une de mes fesses.
– Je… Je…, balbutia-t-il.
Il haletait :
– J’ai… J’ai besoin que tu me donnes ta permission.
– Tu l’as.
Il ne lui en fallut pas davantage pour qu’il vint déboutonner mon pantalon. Il le glissa le long de mes jambes, puis me souleva, d’un bras, pour me l’enlever totalement avec l’autre. Ses doigts s’aventurèrent au-dessus de ma culotte, le seul morceau de vêtement qu’il me restait. Il caressa l’endroit le plus intime de mon anatomie. Je sentis des pulsions en moi, d’abord uniquement dans cette zone, puis elles m’envahirent totalement. Il me retourna, m’embrassa, me souleva de ses bras et me posa précipitamment sur la table, faisant tomber toutes ses jolies sculptures. Il s’écarta un instant, observant mon corps. Gênée, je cachai ma poitrine, mais il dégagea délicatement mains :
– C’est à moi, sourit-il avec convoitise.
Il me renversa complètement, embrassant mon cou, puis mes seins. Ma respiration devint de plus en plus difficile, les battements de mon cœur de plus en plus violents, tout mon corps se cambra. Il descendit ses lèvres, insérant le bout de sa langue dans mon nombril. Puis, je sentis ma culotte glisser, puis disparaitre.
Sa tête se retrouva entre mes cuisses. Il m’embrassa, me lécha, pénétrant sa langue en moi. Je hurlais de plaisir. J’étais perdue, affolée, une partie de moi voulait lui dire d’arrêter que ce n’était pas correct, mais l’autre partie voulait juste qu’il continue et me prenne sauvagement. Lorsqu’il se releva, je vis qu’il n’avait plus ni son pantalon ni son caleçon, il était entièrement nu. Il glissa une main dans mon dos pour positionner mon corps à 45 degrés et avec son autre main ramena mon bassin au bord de la table. Son torse se pencha sur le mien, peau contre peau. Son cœur battait si fort que je pouvais le sentir.
Il m’embrassait alors que son sexe cherchait le mien.
– HA !
Je criai lorsqu’il en trouva le chemin. Il devint délicat, sachant que comme pour lui, c’était ma première fois, et que j’aurais mal. Il entra petit à petit en moi, à chaque centimètre gagné, il fit des mouvements de va-et-vient pour habituer mon corps à sa présence. Je le voulais toujours plus. Il alla toujours plus loin. Mais quelle taille, ça faisait, bon sang ?
– AH !
Cette fois-ci, c’est lui qui échappa un râle, il était enfin totalement en moi. Ses gestes doux prirent de plus en plus de vitesse et de puissance. La table cogna contre le mur, fit trembler la fenêtre. Je ne cessai de crier. Mon corps était en telle effervescence qu’il ne pouvait plus le tenir et je me retrouvai de nouveau allongée sur la table. Il utilisa ses deux mains pour maintenir mon bassin et amplifier encore davantage le mouvement. Je n’en pouvais plus, j’avais l’impression que j’allais imploser. Il accéléra encore et encore.
Nous hurlâmes alors, simultanément, en un orgasme intense. Tout fut clair, léger, silencieux. Il prit mon visage dans ses deux mains et me fixa du sien, placé à peine quelques centimètres, ses yeux devinrent jaunes, les miens s’écarquillèrent aussi. C’est à ce moment que je le vis, que je vis tout en lui, comme si nos âmes ne faisaient plus qu’une.
– Nous appartenons, maintenant, pour toujours l’un à l’autre, s’extasia-t-il. Merci, Nym, merci de m’avoir choisi.